Ô vent, Ô espace,
vos intimes entrelacs accouchent d'éternité...
Et le silence apparaît aux yeux telle une aurore sur le galbe des dunes.
Silences pétrifiés, silences engloutis révélant de fuyants abysses ;
silences de germinations,
silences dessinés par le doigt frêle d'une herbe changeante et silences de rivage. Silence de sable !